Au départ je voulais que ce soit une archive pour mes écrits, d'ailleurs je ne sais toujours pas pourquoi je le fais (écrire); pour l'instant je me dis toujours que c'est une recherche de reconnaissance à travers une certaine esthétique, mais je sais qu'il s'agit de beaucoup plus que ça. Au final j'ai appris qu'un blog pouvait être une archive plus ou moins vivante et que lire d'autres blogs ou consommer d'autre médias pouvait nous inciter à écrire en réaction ou à ouvrir un sujet pertinent.
Vivre heureux, tant que vivre se peut faute de mieux ... faire. Tomber en lambeaux, des nus et des cieux pour redevenir poussière. Mentir à soi-même, à ses proches et à ses rivaux et même à la terre entière. Se bander les yeux, sous couvert de morale...
Tant de roses décapitées, tant de larmes versées et de souvenirs dispersés ... Tant de tartines badigeonnés d'amour et tant de tartes au miel et au citron ratées ... Tant de poèmes et tant de dilemnes. Tant de peines et pourtant autant de joies tragicomédiennes...
Être, paraître ou disparaître pour renaître ? Sourire, blémir ou souffrir pour guérir ? Vouloir, devoir ou choir dans le désespoir ? Semer, décimer ou aimer sans être aimé ?
Je regarde le ciel une aube nouvelle approche. Comme une pluie de douceur, fine et fraîche. Dans un monde, désert et tellement moche. Je regarde mon étoile, et à force je m'en enamourâche ... Elle bas des ailes belle comme le jour qui se lève Sur la nuit...
Lune de miel, si belle avec elle ? Montre-moi ta face claire. Noces d'ébène, nées précoces un hiver. Bon anniversaire. Grand amour, si petit, sans elle. Où est donc passé ta gloire ? Histoire de ma vie, si vite partie, avec elle. Ne dis-tu pas aurevoir...
Le pendule oscille. Le temps s'en va mais pas ce mal de toi ... Le jour, la nuit. Le pire et le meilleur moi sans toi je perds le nord. Je te vois, dans mes rêves tout bas toujours aussi belle, tu te souviens de moi ? T'étais la féline j'étais la proie....
Un souvenir de toi, tombe du ciel. Comme un autre pécher, originel. Il sème la zizanie sur la terre de ma vie. Et réveille des histoires que je croyais finies. Il est jeune et sympa un peu comme toi ... Je suis tellement vieux, de ne plus être avec toi....
J'aime cet air de toi ou tu chantes pour moi Je t'aime et je voudrais t'oublier. Il me tarde de voir tes yeux quand tu me diras adieu, la prochaine fois à l'aéroport de carthage. Je rêve de toi, le soir quand je dors ou quand je danse tout seul chez moi...
La musique est pure. Comme le septième ciel. La musique est fière Comme la grèce antique. La musique est belle, comme un vionlocelle. tzigane et rebelle, comme une république. La musique, est un poème qui rime des ailes Une étoile qui file l'âge de l'univers...
Une farendole, de bonne humeur, Comme une gondole, à venise Malgré, le blues du gris du ciel et les nuits rouges sans étoiles ... Une brave clef du sol, Ouvre la bal du solphège ...
